Ca y est, j'ai fini ce jeu, le 1 et le 2. Mais alors, là... Un seul truc à dire : Wahou !
Déjà, le résumé du touuut début (et encore, je triche, puisque je parle de la locomotive) :
Kate Walker, avocate New Yorkaise, se rend à Valadilène, ville des Alpes Françaises, pour racheter, pour une compagnie de jouets, la vieille usine d'automates des Voralberg à Anna Voralberg. Malheureusement, quand Kate arrive, Anna vient de mourir, et elle apprend qu'il y a un héritier, totalement inattendu : le jeune frère d'Anna, Hans Voralberg, présenté comme décédé, plusieurs décennies auparavant...
Kate se lance donc à la recherche de cet inventeur de génie, parcourant l'Europe d'Est en Ouest, récupérant des indices sur son passage, à bord d'une locomotive à ressort (oui, exactement) conduite par Oscar, un automate.
Donc, pour tout vous dire...
Syberia est vraiment un jeu magnifique, tant du point de vue des graphismes (c'est un jeu qui a déjà plusieurs années, tout de même !) que du point de vue du scénario. C'est beau, entraînant, tout s'enchaîne à la perfection... On n'a pas envie de lâcher le jeu tant que l'énigme en cours n'est pas résolue. Et aussitôt que celle-ci est résolue, il s'en présente une autre.
Le seul moment où j'arrivais à sauvegarder et à quitter le jeu, mis à part celui où je m'endormais devant le PC, c'était celui où j'arrivais dans une nouvelle ville (grâce à la locomotive).
Du début à la fin, on adhère totalement à l'histoire, et on est heureux d'avancer avec Kate, sur les traces de Hans Voralberg, qui se révèlent mener, au final, à une quête encore plus impressionante : la quête d'une île mythique, Syberia, située au Nord du globe, où vivraient encore des Mammouths.