Dans les geôles de Malmorg

Motus avait été soulevée sans problème. Visiblement, elle ne devait pas peser bien lourd. Elle ferma les yeux. Elle allait peut-être sortir. On ne devrait pas l'abandonner ici.
Par où sortir ? Bien sûr... Pouvaient-ils essayer de sortir par là où ce jeune homme était entré très discètement ? C'était par le plafond, non ? Elle ne pouvait pas lever les yeux vers le trou qui devait théoriquement s'y trouver...

Portant un regards au magnifique et bean trou incrusté dans le plafond, il répondit :

"Pas par ici en tout cas. Il va faloir trouver une sortie moins rapide...mais j'y pense. D'ou arrivez vous au juste ?"

Il n'y repensait que maintenant mais Mint n'était pas prisonier dans cette sale. D'ou pouvait il venir ?

Mint ne savait pas si c'était vraiment une bonne idée, mais il répondit :

– Je me trouvais dans un des couloirs en sous-sol. Je pense pouvoir nous guider jusqu'à une sortie, mais il y a de fortes chances que l'on croise du monde sur le chemin...

Mais après tout, il n'avait plus qu'à se lancer. La liberté n'était pas loin.

Il lui lanca un regard sceptique .

"Je ne vou poserais pas de questions sur vos motivations ni sur ce que vous faisiez la . Cependant, je pense que votre conaissance relative des lieux peut nous être utile."

Il jeta un dernier regard aux autres prisoniers plongés dans cette sinistre ambiance puis se dirigea vers le trou qu'il avait fait dans le mur adjacant.

"Si jammais vous redoutez de rencontrer des ennemis, moi pas."

Un regard en biais et un sourire en coin plus tard :

"Allons y."

Creusant de façon méthodique et froide, se souciant peut de l'état général de son corps, Le Marginal avançais toujours a bon allure ; les voix dans sa tête s'étaient enfin tue pour ne laisser que 1000 ....
Cela faisait sans doutes plusieurs jours que 1000 avais pris le contrôle, sans doute car après les longues heures de batailles pour le pouvoir sur le corps, il avais dépensé toute son énergie a continué le tunnel commencé par les neuf.

Sous terre, dans le noir ... il continuais a creuser, ne sachant pas ou il allais ... Il allais de toutes façons rencontrer d'autre forme de vie et alors .... le malheur et l'implacable haine qui le rendent si fort s'abattront sur elles, les détruisant. Il fallait qu'il détruise.

cependant qu'il réfléchissait, le marginal atteignis un mur. Un mur solide ... au bas mots des pierres d'une main de largeur .... Pas étonnant que ses solide main s'écorchent dessus .... Creuser du sable terreux est relativement facile quand on possède sa force mais creusé de la pierre ... une roche de bonne qualité en plus .... les bâtisseur ne voulais sans doute pas de visite de la par de nos amis les vers des sables.

Nullement affecté par les insinuations de Dreak sur sa lâcheté – qu'il assumait parfaitement –, Mint s'avança vers le trou dans le mur, qu'il franchit en prenant bien garde à ne pas bousculler la jeune fille qu'il portait dans ses bras. Il regarda à gauche puis à droite dans le couloir avant d'opter pour la première direction. Vers la porte principale.

Dreac le suivait un peu plus loin, alors qu'il arrivait devant des escaliers. Il repéra rapidement qu'une fois celui-ci gravit, il faudrait encore traverser le long et large couloir qui permettait de se rendre à presque tous les endroits du palais. Là, ils n'auraient plus qu'à prendre la dernière porte pour atteindre le hall, ou au minimum 5 gardes se trouveraient, normalement.

Légèrement essouflé par sa montée, Mint se tourna pour voir si Dream le suivait toujours.

Voyant le regard de Mint, il répondit à celui ci.

"Je ne vous abandonnerais pas."

Ils gravissaient le même escalier depuis 10 bonnes minutes et Dreac se posait des questions quand à la fiabilité de Mint.

"Savez vous vraiment ou vous allez au moins ? Ce n'est pas pour moi que je dit ca mais si vous tentez de me tendre un piege, ne soyez pas surpris de me voir répliquer immédiatement. Enfin, je dit ca par mesure de précaution vous savez."

Toujours ce petit sourire en coin et ce regard insistant au visage .

Mint, toujours aussi calme, répliqua :

– Je sais parfaitement où je vais.

Il continuait d'avancer dans le long couloir. Ils devaient être à mi-chemin...

– Pour information, la sortie sera très probablement gardée par une demi-douzaine d'hommes au minimum. Mais je compte sur vous pour vous en occuper...

Son ton laissait clairement percer son ironie. Il avait beau ne pas aimer se battre, il ne pouvait pas être considéré comme faible pour autant. Mais ça...

Namiara redressa soudain la tête. Elle détestait se laisser porter, mais il semblait que c'était sa seule chance de s'en sortir.
"Sommes-nous réellement obligés de passer par là ?"
Non, vraiment, elle voulait éviter que l'homme qui la portait se fasse tuer. Ou alors, qu'il la dépose au moins loin d'ici avant...

"Ne vous inquietez pas Namiara."
dit Dreac qui sentais la jeune fille bouger.

"Si nousdevions faire face à des ennemis je ferait tout pour que vous ne soyez pas touchée par la bataille. J'irais ensuite leur botter le derrière avec le petit doigt gauche."

Le marginal, sous l'influence de 1000, examinais le mur depuis deux bonnes minutes déjà .... Il put confirmé ce qu'il pensait, le mur était solide et épais, construit dans de la belle roche et le mieux, c'était que la construction était récente et donc habitée ....

reculant d'un pas pour profité de l'allonge que ses bras démesurés lui procurais, il arracha un morceau de la tunique qu'il portait, s'en sein la main et le poignet droit avec une bande et envoya son énorme poing percuter le mur !

Avec un écœurant craquement, accompagné du son sourd de la roche et du mortier pulvérisé, une ouverture large et haute d'un mètre s'ouvrit dans le mur ...

Deux doigt de cassé ...
Ce n'était pas cher payé et surtout en dessous des estimations qu'il avait faite ... les neuf avaient sommes toute pris soin du corps et gagné en musculature, tant mieux se dit-il tandis qu'un effrayant rictus se dessinait sur son visage.

Le marginal entra dans une pièce .... un couloir, large et haut, juste au pieds d'une immense porte gardé par une vingtaine d'hommes en armes ... une trentaine si on compte les 7 qui se cachent et les trois qui sont tombé avec le mur ...

Poussant un hurlement trop grave pour être émis par un humain le marginal se jeta sur le premier garde encore sous le choc, qui se brisa en deux comme une paille et fini propulsé sur deux de ses camarades ... une grenade roula jusqu'à un groupe de garde qui meure en un instant.
cinq garde s'enfuirent terrorisé tandis que les huit garde restant, ayant armé leurs fusil d'assaut se mettent a tirer en direction du marginal qui décrivit un large cercle autour d'eux et sectionna, a l'aide d'un couteau prélevé sur un cadavre, les câbles qui alimentais en magie électricité les deux armes lourdes avant de trouver couvert derrière la troisième.

il attendis que les gardes vident leur armes et se jettent sur les deux plates formes d'armes lourdes pour retourner et activer le seul des trois canon à foudre qui fonctionnait encore et déverser sur les gardes un flot de magie électricité les réduisant en cendre. Il se délecta de l'expression d'incompréhension sur leurs visages.

Ceci fait il pris le temps de se restauré grâce aux rations de survie que portait les soldats puis penser ses blessures à l'aide d'un de leur médikit.

Il avais quand même pris une balle dans l'omoplate et une autre dans la cuisse .... Il avais aussi deux doigt cassé ainsi que tellement d'écorchures sur les mains que l'on ne distinguais plus leur couleur d'origine sans compter l'ongle qu'il lui manquais à l'annulaire gauche.

Bref, une pause lui ferais le plus grand bien ... peut-être pousserait-il jusqu'à faire un somme pensa-t-il tandis qu'il s'endormait au commandes de l'effroyable canon électrique.

La cacophonie qui s'était fait entendre avait stoppé net le groupe de fuyards. Il semblait évident que l'on se battait quelque part dans les longs couloirs sombres. Namiara frissona. Elle ne savait pas se battre sans magie-électricité, et le mieux que l'on puisse dire quant à ses possibilités de combat à ce moment précis était "très faibles". Voire même "nulles".
Elle sentait encore contre sa peau le câble, qui doucement se chargeait de magie-électricité. Devait-elle... ?
Elle se tortilla pour apercevoir Mint, qu'elle ne voyait pas. Il se trouvait devant Dreac, donc devant elle, donc de dos, en plein dans son champs de vision (elle-même restait bien accrochée à son porteur). Bon. Elle détestait ne pas avoir son interlocuteur face à elle, mais il se trouvait qu'elle n'en aurait pas le loisir cette fois-ci.
"Mademoiselle ? Y'a-t-il un moyen d'éviter le lieu des hostilités, si je parviens à le repérer ?"

Mint retint un rire. Ainsi, cette Namiara l'avait appelé "Mademoiselle"...

Ce n'était pas la première fois que cela lui arrivait. Normal, puisqu'on pouvait dire qu'il faisait tout pour ressembler à une fille. Tromper les gens ainsi était vraiment... Plaisant.

Il estima cependant que le moment n'était pas à faire n'importe quoi. Un autre moyen...

– Je ne pense pas qu'il soit judicieux de faire un détour. Cela nous ferait perdre du temps, et en plus, s'il y a eu combat, cela signifie que quelqu'un d'extérieur s'est introduit... Peut être un allié, donc.

Il recommença à marcher d'un pas décidé. La porte se trouvait à une quinzaine de mètres encore.

Il avancait d'un pas ferme vers la porte bien qu'ayant entendu le rafus de l'autre côté de celle-ci.

Puis, arrivé à environ cins mêtres de cette porte :

"Excusez moi jeune fille mais je vais devoir vous laisser ici pendant quelques secondes."

Il la posa délicatement sur le sol puis se redressa .

Il se tourna alors vers Mint.

"Je passe le premier ? 'mademoiselle' "

Il entama un nouveau sourire puis leva un sourcil en guise d'interrogation .

Mint, de nature pourtant peu suceptible, commençait à avoir du mal à supporter ce Dreac. Il avait compris... Et il se moquait de lui...

Qu'importait.

– Va donc jouer les preux chevaliers, beau jeune homme, pendant que je m'occuperait de ces deux jeunes filles...

Après tout, s'il pouvait faire le travail à sa place, c'était tant mieux.

(HRP: Hey calculateuse >.<)


Il entamma en rictus et leva les yeux au ciel

"He hehehehe ... Trés bien, trés bien. Je vais y aller. Mais prends soin des autres en mon absence."


*plock plock plock plock*

Ses pas raisonnaient dans le silence maintenant ambiant. Pas un bruit ne filtrait de l'autre côté de la porte.

"Et YAAAAAAAAAAH"

Il venait d'enfoncer la porte d'un violent coup de la plante du pied.

Ses deux révolvers brandits en avant, il scrutait la salle.
Cependant un spectacle sanglant s'offrait a lui....des gardes massacrés gisaient sur le sol sans aucune raison apparente cependant.

"Quelqu'un est, je crois passé avant nous"

Namiara redressa la tête, vivement.
"Je veux voir !"
Elle fixait maintenant la porte par laquelle Dreac avait disparu.
"Dépêchons-nous de passer là-bas et de quitter ces lieux, ajouta-t-elle finalement."
Elle continuait de regarder fixement la porte. Elle voulait voir.

Mint déposa doucement la jeune fille qu'il portait au sol pour aller voir ce qui se passait derrière cette porte.

Du sang. Partout.

Cette vision ne le dérangeait pas. Rare étaient les choses qui le dégoutaient ou l'atteignaient.

Mais le fait que cette Namiara veuille voir... Ce n'était peut être pas une très bonne idée. C'était une fille, après tout.

Il revint auprès d'elles.

– Ce n'est pas un spectacle très réjouissant, mais nous devons de toute façon passer par-là...

Il hêla Dreac.

– Ho ! Tu reviens porter Namiara ? Je ne pense pas avoir suffisament de force pour les porter toutes les deux, aussi maigres soient-elles.

Il reprit l'autre jeune fille, toujours inconsciente, dans ses bras, attendant le retour de Dreac.

"Ouai, j'arrive."

Il rouvrit la porte et partit Chercher Namiara.

Il la fit monter sur son dos comme auparavent.

"Faites attention, notre massacreur est peut etre encore dans les parages."

Il repensa aux paroles de Namiara.

"Ecoutez, je ne pense pas que s'infliger de la violence gratuite soit une bonne chose. Même si vous avez quelque chose a vous prouver, je ne vous conseille pas de regarde derriere cette porte."

Namiara secoua la tête en signe de négation.
"Je veux voir. Juste un regard. Après tout, on devrait pouvoir se sauver, non ? Dans le pire des cas, nous ne sommes plus très loin de la sortie, n'est-ce pas ?"
Elle disait cela, mais en réalité, elle était consciente que si son porteur mourrait, elle était perdue aussi.
"Vous ne vous ferez pas tuer, n'est-ce pas ?"

"Mourir ? Hahaha. Biensur que je vais mourir. Mais pas avant de vous avoir sortie de là, jeune fille."

Il la positiona correctement sur son dos et fit signe à Mint de le suivre.

"Preparez vous, j'ouvre la porte."

Il ouvrit la porte et laissa place au spectacle maccabre.

Le marginal émergea silencieusement du sommeil, avertis par son ouïe de la présences d'autres personnes .... Celles ci sembles discrètes, un petit groupe, Deux personnes a en juger par les bruits de semelles, ce n'étaient pas des soldats ... Parfait se dit-il tandis qu'un de ses effroyables rictus de haine lui déformais le visage.

Le marginal, se glissa silencieusement derrière les reste de l'arme lourde détruite, puis bondit sur ses deux victimes ...

La surprise le cloua sur place ! Ils n'étaient pas deux mais quatre .... Comment avais-il put commettre une erreur, il valait mieux que cela !

C'est le moment que choisirent les neuf pour lancer une attaque surprise sur la personnalité tyrannique au commande du corps, 1000.
L'attaque fut brève et décisive, profitant du cahot et de l'effet de surprise, les personnalités sous les ordres des neuf mirent a mal les force de 1000, l'obligeant a céder.
Mais la puissante personnalité n'en avais pas finis ... deux ou quatre, il devait les tuer !
mourrez, mourrez, mourrez ... MOURREEEEZZZZZZ !!!

Poussant un hurlement de rage, le marginale fit deux pas en direction du petit groupe, puis un autre avant de mètre un genoux a terre et d'émettre un faible

"mourrez ..."

La victoire prompte et décisive des neuf sur 1000 leur amena le contrôle exclusif et inconditionnel du corps.
Le marginal, enveloppe physique des mille personnalité, s'effondra en poussant un râle de douleur et se laissa sombrer dans l'inconscience.

Son rythme cardiaque redevint stable et sa respiration de moins en moins irrégulière pour finir profonde et mesurer. Lorsque le marginal commença a se redresser, il émit un faible sourire sous l'impultion de 5, pour paraitre plus avenant ... Cela lui donna cependant l'air d'un chien qui découvre ses crocs.


[note HRP] le marginal ne prononce que les mots qui sont entourer de "", les mots en italiques sont prononcé par les différentes personnalités du marginal mais dans sa tête. [/note HRP]

Namiara avait poussé un petit cri de stupeur en apercevant la chose qui se tenait devant eux. Un réflexe (l'instinct se survie, peut-être), l'avait cependant empêchée de relâcher sa prise sur son porteur, ce qui l'aurait fait tomber parmi les restes des gardes, ce qui...
Elle fixait la chose qui avait voulu les attaquer, qui s'était écroulée dans le sang de ceux qui devaient être ses victimes, et qui maintenant tentait (peut-être ?) une esquisse de sourire.
"C'est un humain, ce truc ?" fut la seule pensée à peu près logique qui parvient finalement à traverser l'océan de stupeur dans lequel elle avait l'impression d'avoir plongé.

C'est à ce moment-là qu'elle vit vraiment les cadavres. Jusque là, elle les avait repérés, vagues silhouettes, formes éloignées de toute réalité, sans pour autant avoir pris conscience de ce qu'ils étaient. Mais maintenant... Elle ne pouvait s'empêcher de fixer ces choses sanguinolentes, dispersées dans toute la pièce, en silence. Elle n'était pas en sécurité, et un morceau de son cerveau le lui hurlait, mais elle observait les corps disloqués, les étudiait. Elle avait un but, en entrant dans l'Académie de Magie-Electricité. Elle y repensait souvent, quand elle voyait un peu de sang. Mais là, c'était... monstrueux.
Le coupable se trouvait juste devant eux, elle le savait, sans pour autant réussir à se focaliser sur le danger. Elle ne se sentait même aps en sécurité, portée par cet inconnu censé la libérer, mais, pourtant, son regard ne parvenait pas à se détacher du massacre, du rouge éclatant du sang, des formes vagues des os, des muscles... C'était ça, son but à elle. Il était résumé, juste devant elle, lui montrant en même temps l'improbabilité de son rêve. Elle y travaillait depuis si longtemps, et, pourtant, en observant ces choses qui avaient été humaines, elle se décourageait, si facilement. Elle sentit ses quelques forces la quitter. C'était vraiment... irréalisable.

Il sentait la prise de Namiara se resserer puis se relacher autour de lui.

Il tenta alors de la rassurer .

"Ne vous en faites pas. Tant que vous êtes avec moi, vous ne risquez rien."

Se focalisant alors sur leur étrange invité, Dreac prit un ton plus impartial.

"Qui est tu ? "

énnonca directement Dreac d'une voix froide.

"Si tu es un obstacle, fais le savoir, nous gagnerons du temps. "

Non, Motus n'était pas inconsciente, du moins pas encore...
Elle écoutait ce qui se passait autour d'elle avec intérêt...
D'ailleurs, en entendant Namiara dire "elle" en parlant de son porteur, elle s'en étonna, car elle était contre son torse, et elle ne sentait pas la moindre poitrine, même menue...
Elle rangea ce détail dans un coin de sa tête, car ce n'était vraiment pas une priorité.
Elle fut posée par terre. Ces deux hommes ne voulaient pas heurter leur sensibilité féminine. Quelle délicatesse. Mais ils durent bien les reprendre.
Lorsqu'ils entrèrent dans la salle, elle sentit une autre atmosphère. Elle ouvrit les yeux. Le spectacle n'était pas très ragoûtant. Sûrement que si elle avait eu ça sous ses yeux dans sa salle de détention, il y a tout juste une heure, elle n'aurait pas réagi le moins du monde. Mais la vie revenait petit à petit en elle, et elle ne pouvait que ressentir du dégoût. Malgré tout, elle continua à regarder, et essayer de comprendre.